Pour Genenviève et Henri (G-H),
pour violoncelle et accordéon
6'30

Cette pièce, écrite pour violoncelle et accordéon, résulte de différents «collages», celle d'une mélodie que j'avais écrite sur un texte du poète allemand Erich Fried (DerVerschwandenen - Les disparus) qui se développe entre quelques bribes de la musique d'Henri Dutilleux, dont notamment les métaboles/Linéaires au tout début de la pièce et le célèbre accord des Trois strophes sur le nom de Sacher. Elle se termine par une tierce majeure, sol-si, qui reprennent ainsi les initiales de Geneviève et Henri, deux êtres forcément inséparables que j'admirais et aimais beaucoup. (BC)